Aujourd'hui, j'ai décidé d'être futile, d'oublier les monuments ou l'histoire notre chère capitale et de m'intéresser uniquement aux boutiques, palaces et tout ce qui fait que Paris est la capitale du luxe.

 

C'est toujours en suivant mon petit livret de balade sous forme d'énigme que je compte vous faire découvrir un parcours de rêve pour Carrie, Samantha, Charlotte et Miranda.

 

 

Comme d'habitude, mon point de départ est une station de métro que je dois trouver grâce à ça :

 

« Axe historique de Paris, je mesure 1,9 km de long et 70 m de large. J'ai sous mes pieds la plus ancienne ligne de métro, qui reliait les différents lieux de l'Exposition universelle de 1900. La station qui nous intéresse porte le nom d'un monarque britannique, fondateur de la maison de Windsor. »

 

 

 

Quand on sort de la station, on a vue sur ça

 

Zut, j'avais pas dit que je faisais abstraction de l'histoire ?

 

Bon sinon, on peut aussi voir le plus grand magasin du monde de la marque Louis Vuitton. La façade Art déco du n°101 date de 1930 et est entourée de chinois et de touristes américains.

 

Juste en face, une brasserie de luxe très prisée des célébrités, hélas pas dans mon budget...

 

Je bifurque sur l'avenue George V. Nous sommes en plein triangle d'or, les trottoirs sont impeccables, les boutiques et les palaces se succèdent.

 

Je dois suivre l’œuvre d'un certain Gustave... Ah, oui, c'est bon je la vois. La vue est bien plus jolie de là :

On y trouve la plus grande suite royale de Paris ( 450 m2 tout de même), les stars y font une petite pause mais aussi des agents secrets comme Mata Hari.

 

Je reviens sur mes pas, histoire de côtoyer des boutiques de rêve.

 

Mais aussi de voir le printemps percer enfin !

 

Je reste dans une atmosphère de calme et de volupté, où les arbres sont verts, taillés, impeccables.

 

Un petit détour par le palais de l’Élysée, le Crillon, tout ça pour finir en apothéose, place Vendôme.

 

Pour terminer ma promenade, j'emprunte la rue la plus chère du monopoly, fais quelques détours, achète une tenue de printemps, bref, un samedi normal...

 

Tout ça pour pouvoir résoudre l'énigme finale, une définition du luxe par Coco Chanel : « Le luxe, ce n'est pas le contraire de la pauvreté mais celui de la vulgarité ».

 

Pas sure que tout le monde soit d'accord avec ça !